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L’ITF et l’ETF, aux côtés de leurs membres FSC CCOO et FESMC UGT, ont aujourd’hui condamné le refus du gouvernement espagnol de participer aux négociations sur le conflit autour de la réforme du travail portuaire, alors que les syndicats de dockers annoncent des grèves à compter du 6 mars.

Les chauffeurs Uber du Qatar et de New Delhi, en Inde, en grève pour protester contre la diminution des tarifs, ont reçu un vif soutien de la famille ITF.

Plus de 400 gens de mer et 100 cadets de l’Université maritime du Myanmar – la plupart non syndiqués – ont participé à la première édition de ce séminaire qui se tiendra désormais chaque année.

Au Venezuela, les syndicats de la FBTTT (Federación Bolivariana de Trabajadores y Trabajadoras del sector Transporte, Afines y Conexos) ont participé à un séminaire d’organisation et de renforcement la semaine dernière.

« Une conférence vibrante et dynamique, établissant un programme de travail clair jusqu’au Congrès 2018. »

La prochaine étape « Sur la voie du Congrès » de l’ITF (Pathway to congress) aura lieu d’ici quelques jours, lorsque des syndicalistes de tout le Monde arabe se réuniront à l’occasion de leur conférence régionale.

Au Burkina Faso, les travailleurs de la route ont suspendu une grève de trois jours après avoir obtenu des promesses d’action du gouvernement en matière de sécurité routière et à propos de l’extension de leur convention collective.

Deux jours à peine après la mise en garde lancée par l’ITF à propos des permis accordés aux pêcheurs migrants par le gouvernement irlandais, dont elle craint qu’ils ne « légitiment l’esclavage », l’ancien ministre du travail admet avoir eu vent « d’abus alarmants » et appelle le gouvernement à supprimer le système et à le remplacer.

Exprimez votre solidarité aux dockers espagnols qui s’opposent à l’intention de leur gouvernement de dépecer les réglementations portuaires.