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Les membres du Comité d’action contre les pratiques déloyales de l’ITF (FPC) et de son groupe de pilotage se sont réunis cette semaine à Perth, en Australie, pour renforcer les campagnes menées par les affiliés australiens et néo-zélandais pour défendre les droits des travailleurs et des syndicats face aux offensives des géants du pétrole et du gaz offshore Chevron et BP.

Une nouvelle enquête approfondie de l’ITF révèle qu’il faut poursuivre l’action sur le VIH/SIDA et continuer de se battre pour le bien-être des gens de mer.

Lors de leur réunion tenue à Perth, en Australie, les représentants de la Section des dockers de l’ITF ont soutenu l’affilié péruvien SUTRAMPORPC, qui commence aujourd’hui une grève à durée indéterminée dans le terminal APMT du quai nord du port de Callao, le plus grand du Pérou.

Près d’un quart des actionnaires indépendants assistant à l’assemblée générale annuelle de National Express à Londres hier ont choisi de ne pas appuyer les recommandations du conseil d’administration concernant une résolution appelant à un programme de contrôle indépendant de la filiale de bus scolaires de la société aux États-Unis, Durham School Services.

L’ITF a condamné l’arrestation de 12 syndicalistes, dont deux femmes, lors de la grève nationale des transports routiers organisée en Inde le 30 avril.

Le responsable syndical Nicholas Mbugua a déclenché une énorme vague de soutien pour les travailleurs d’Agility lorsqu’il a pris la parole devant une foule de plus d’un millier de personnes et des élus nationaux et locaux lors du rassemblement du 1er mai à Mombasa.

Les Secrétaires généraux de l’ITF et de la Confédération syndicale internationale (CSI) ont adressé une lettre commune à l’Ayatollah Khamenei pour protester contre le harcèlement incessant des militants syndicaux en Iran.

L’ITF soutient deux responsables syndicaux du secteur informel arrêtés et incarcérés à tort à Nairobi, au Kenya.

L’ITF a averti le gouvernement australien de la riposte syndicale internationale qui l’attend après le jugement rendu par la Fair Work Commission (FWC - Commission pour la justice au travail) autorisant le plus grand opérateur de fret ferroviaire du pays à mettre fin à 12 conventions collectives d’entreprise, lesquelles concernent 6 000 travailleurs.